Le Premier ministre britannique David Cameron n’a pas d’objection à ce que le Mondial de 2018 ait lieu en Russie. Contrairement à son vice-premier ministre Nick Clegg, il ne juge pas qu’à l’heure actuelle, il soit nécessaire de recourir à un boycott, même s’il comprend que le débat soit lancé, a déclaré le service de presse du chef du gouvernement.
La FIFA a condamné vendredi l’éventuel boycott à l’égard du Mondial-2018.